Adam, Halberstadt, Irving

mercredi 20 juillet 2011
par  Colette PISELLA

Olivier Adam : le cœur régulier

Michele Halberstadt : café viennois

John Irving : : les rêves des autres

Avec Olivier Adam, je me suis plongé avec délices dans la description si sensible des sentiments qu’éprouve l’héroïne de cette histoire, à la recherche de ce qui l’empêche de vivre au quotidien. Quelle belle écriture !

Dans le "café viennois ", j’ai rarement autant apprécié Vienne et l’ambiance de ses cafés. Là encore un lourd passé et une renaissance.

John Irving dépeint avec lucidité ses compatriotes, mais la société américaine, c’est décidément pas mon truc !










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