Laurent Gounelle – le jour où j’ai appris à vivre

jeudi 11 décembre 2014
par  Colette PISELLA


Laurent Gounelle – le jour où j’ai appris à vivre

« Nous sommes des êtres complets et la nature nous amène à le ressentir profondément, alors que la société crée en nous le manque. Elle sait nous faire croire et ressentir qu’il nous manque quelque chose pour être heureux. Elle nous interdit d’être satisfaits de ce que nous avons, de ce que nous sommes. Elle ne cesse de nous faire croire que nous sommes incomplets. »

« Plus tu vas obtenir de plaisirs en provenance de l’extérieur, plus tu vas conditionner ton cerveau à se tourner vers l’extérieur pour y chercher des sources de satisfaction. En toutes circonstances, notre cerveau nous amène en effet à faire ce qu’il croit être le mieux pour nous. Le problème, c’est qu’il prend ses décisions en fonction de notre vécu. Si tu offres à ton cerveau des sources de contentement surtout externes, il te poussera de plus en plus à l’extérieur de toi-même. »

« Pour bien vivre sa vie, il est nécessaire d’être à l’écoute de ce qui vient du plus profond de nous -mêmes ; entendre les messages chuchotés par notre âme. Mais notre âme est comme un ange qui murmure d’une voix si douce, si faible, qu’il faut tendre l’oreille. Comment veux-tu la percevoir dans le brouhaha incessant ? Comment veux-tu y prêter attention quand ton esprit est en permanence accaparé par des milliers de choses en dehors de toi-même ? »

« Donnez-moi le courage de changer ce qui peut l’être, d’accepter sereinement les choses que je ne puis changer, et la sagesse de distinguer l’une de l’autre. »

« Mieux vaut allumer sa petite bougie que maudire les ténèbres. »

« Chacun par ses actes, ses paroles, son état d’esprit et ses émotions, influe sur son entourage, et puis cela se propage comme des ondes à la surface de l’eau. Forcément . Rien n’est neutre, tu sais. Au final, chacun de nous a un impact sur le monde. Et quand on a trouvé sa mission, on a un rôle à jouer, un rôle utile à l’humanité, aux êtres vivants, à l’univers ... …. Découvrir nos talents est aussi un moyen de comprendre notre mission. »

« quand on marche, le temps passe plus lentement. La culture de l’immédiateté et de l’ultra-réactivité dans laquelle on baigne nous amène à n’être plus présent à rien. En marchant, on se replonge dans le temps de la nature, de l’univers, du cosmos. Le temps de la vie ; on se reconnecte à soi-même. »

« Le monde est la résultante de nos actes individuels.

Se changer soi-même est la seule voie vers un monde meilleur .

Un monde meilleur où il fait bon vivre. 

Cette idée tournait en boucle dans l’esprit de Jonathan. »

« En fait...... J’ai décidé de moins râler contre les maux de la société, mais de prendre juste ma part de responsabilité. J’ai réalisé que c’était plus important pour moi d’être OK avec moi-même que de donner des leçons aux autres. »


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