La maladie cherche à me guérir. Dr Dransart Philippe

mercredi 12 septembre 2012
par  Colette PISELLA


La maladie cherche à me guérir. Dr Philippe Dransart


« Nous ne pouvons pas changer le dehors parce que nous le décrétons, mais le dehors change quand nous sommes libres en dedans. Chacun de nous a pu en faire l’expérience dans sa propre vie. Quand après avoir hésité longtemps entre deux options, nous avons choisi, alors seulement la route s’éclaire, les portes s’ouvrent, les occasions se présentent comme si elles n’attendaient que notre choix pour se manifester. Et comme le dit Shakespeare : « En toute situation mauvaise, il y a la quintessence d’un bien. » »

« La flatulence, par abus de pain et d’aliments farineux nourrissants, se produit souvent lorsque l’on s’accroche à une situation qui n’est plus satisfaisante mais qui représente encore une sécurité matérielle ou affective. »

« Pour être disponible à l’autre, il faut être détaché de soi, et si nous aidons nos enfants à grandir, quelque part l’inverse est subtilement vrai aussi. »

« En réalité, la maladie cherche à libérer notre conscience de sentiments ou de certitudes qui l’entravent, afin de nous éveiller à une dimension plus vaste, plus lumineuse, une dimension où nous aimerions garder notre corps, jusqu’au jour où cette dimension est trop vaste pour cela..... »

« nous méritons infiniment mieux que cette parcelle de Moi que nous tentons de préserver et dont la maladie cherche à nous libérer. Qu’elle y parvienne n’est pas acquis, mais l’important n ’est pas forcément de vaincre . L’important est de cheminer au delà des difficultés, avec la conscience que rien n’est complètement négatif même pas la défaite, car notre âme, elle, sait ce qu’elle veut, même si pour nous cela est quelquefois incompréhensible. Car il se peut que la cause de la maladie ne soit pas dans l’ombre du passé, mais plus simplement dans la lumière à venir, cette lumière qui nous attend. »

Tous les organes sont passés en revue, avec les symptômes et les expressions liées à ces organes comme « en avoir plein le dos », « cracher le morceau » , « j’en ai les bras coupés », « se faire de la bile », « avoir les reins solides », « avoir le cœur gros », « le cœur serré », « ça nous reste en travers de la gorge », etc.... Ces expressions, souvent révélatrices, peuvent expliquer certaines choses. On n’est pas obligé d’y croire, ni de généraliser, mais ce sont autant de pistes de réflexion, utile pour la connaissance de soi !





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